CIG et 44 ème anniversaire de la réouverture de la ligne Limone-Vintimille

REN était représentée le vendredi 6 Octobre 2023 à 11h00 pour le 44 ème anniversaire de la réouverture de la ligne Limone-Vintimille.

Peu de monde à la gare de St Dalmas, mais des affiches de la manifestations de Cuneo, pour rappeler que le manque d’équipement peut avoir de graves conséquences en matière de sécurité.

L’arrivée du train des merveilles à 11h13 venant de Nice:  6 randonneurs en sortent et une personne y monte! Et le magnifique bâtiment de la gare frontière de Saint Dalmas, datant de 1928, que SNCF laisse pourrir…. comme quoi avoir une filiale “Gares et connexions” est tout sauf une incapacité totale à préserver un patrimoine.

Il n’y a pas que la route pour passer le col de Tende

Pour la mise en place d’une navette ferroviaire

En 1987 et en 1992, parce que la route du col de Tende était impraticable, les services ferroviaires de l’époque ont déployé les moyens techniques permettant de faire circuler des navettes ferroviaires pour le transport des véhicules légers entre Tende et Limone. La voie et les quais de chargements sont toujours là, ne manque que la volonté de faire.

La gare de Tende en 1987 – Source https://www.marklinfan.com/f/topic.asp?TOPIC_ID=843

Nous demandons que les trois trains de voyageurs proposés chaque jour par Trenitalia entre Cuneo et Ventimiglia soient complétés par des allers-retours de navettes « auto-train » entre Tende et Limone. En plus de rendre un service considérable aux entreprises locales, elles ajouteraient un atout majeur au potentiel de la ligne.

Pour une ligne Nice-Vintimille-Cuneo internationale

Nous demandons, en plus des navettes, que les trains roulent à nouveau à 80 km/h, que les systèmes de sécurité soient installés pour que les TER aillent à nouveau jusqu’à Limone, que soit rétabli le Nice- Turin pour voyageurs avec des trains de nuit et marchandises, que les trajets journaliers reviennent aux cadences d’avant 2013, soit au moins 24 trajets quotidiens, que la ligne soit à nouveau électrifiée.

Pour faire de la Roya un territoire en transition écologique

Nous demandons que le tunnel routier du col de Tende ne soit pas doublé et que la galerie historique devienne une galerie de sécurité sans être réalésée. C’est en reportant les financements sur la ligne ferroviaire pour lui rendre toutes ses capacités, que la vallée pourra échapper à la désertification et passer le cap de la transition énergétique.

Plus que jamais,
le train est la solution pour la Roya.

Version Téléchargeable

Note: Une lettre ouverte avait déjà été adressée dans ce sens en 2021 au Président de la République française et au Président du Conseil italien : https://ren.roya.org/?p=975

Usagers des TER

L’association REN était représentée à réunion des associations des usagers du TER azuréen du 8 novembre 2021. Le compte-rendu officiel a été diffusé le 8 février 2022. En voici quelques extraits concernant l’étoile de Breil. Le document complet est en fine de page.

On remarquera l’annonce de SNCF réseau : il faudra attendre 2032 pour une revenir à la vitesse normale sur le tronçon Breil-sur-Roya – Tende

Monsieur Éric PAWLOFF, SNCF Réseau :
Concernant les travaux sur Nice-Breil pour la partie française de la ligne Coni-Vintimille, plus de 20M€ ont été investis dans la campagne 2017 pour sécuriser la ligne aux endroits dangereux et plus de 30M€ ont été entrepris dans le cadre de la tempête Alex. Prochaine étape à l’horizon 2025-2026 : financement à hauteur de 30M€ pour sécuriser la ligne. 2030-2032 : phase pour pérenniser la ligne et faire remonter la vitesse à 80 km/h comme elle l’était à l’ouverture de la ligne

ACME : Quels échéancements de travaux sur Nice Breil ? Où en est-on ?
Réponse SNCF Réseau post-réunion : « Les études préliminaires (EP) ont été réalisées en 2020 et la phase Avant-Projet – Projet (AVP-PRO) est lancée. En fonction de l’obtention des financements, la date prévisionnelle des travaux sera à l’horizon mi-2024 à fin 2025.Les risques connus, et préalablement partagés, d’arrêt des circulations en 2022-2023 ont été traités pour permettre cette replanification

ACME : Des demandes de financement à l’Europe ont-elles été faites, comme cela était prévu (dossiers à élaborer par la SNCF par contrat avec la région…)
Réponse SNCF Réseau post-réunion : « Nous n’avons pas connaissance de telles demandes qui pourraient plutôt concerner la ligne Coni-Vintimille »

REN : Qu’est ce qui empêche de faire à nouveau circuler des trains le matin, avant 10h, entre Tende et Nice ? L’absence du train de 6h pénalise fortement les étudiants, les travailleurs, les personnes qui ont besoin de consultations médicales sur la côte… C’est nécessaire pour le retour à la normale en Roya
Sandrine RIGAUD : Il est prévu sur la ligne Nice – Breil de maintenir au SA 2022 le service nominal des services précédents. Des adaptations en lien avec les travaux du tunnel de Carabacel ont modifié certains horaires des trains du matin pour qu’ils puissent circuler avant les travaux au départ de Nice
Post réunion : le premier TER a pu finalement être avancé d’une heure au départ de Tende, à la suite de l’instruction de la demande par Trenitalia, qui gère les circulations entre Tende et Breil.

REN : Réponse pas satisfaisante. Qu’est-ce qui empêche d’avoir un train qui monte tard le soir à Tende et qui redescend le lendemain matin ?
Monsieur Bruno DESSAIGNES : Le car met 45mn, le train 1h15. Il n’y a jamais eu d’offre organisée par la Région sur cet horaire. Nous avons le sujet du train des internes le lundi matin qui doit se rendre tôt sur Nice. Même avec les 4 AR aujourd’hui, certains trains ont 4 à 5 usagers. Il y a également les cars de la CARF en correspondance à Breil pour aller jusqu’à Tende et les correspondances avec les trains trenitalia à Breil.
Monsieur Jean-Pierre SERRUS entend la remarque. Les élus de la vallée font également remonter ces remarques. On cumule sur ce service un certain nombre de difficultés. Nous n’organisons pas la pénurie. Nous sommes conscients que les solutions que nous apportons sont perfectibles. Nous y travaillons.
Post réunion : le TER de 17H20 partant de Nice et s’arrêtant à Breil offre une correspondance avec le train trenitalia arrivée Tende 20h16.

ACME : Quel service sur la ligne Nice-Breil 2022 ? il y a deux amplitudes trop grandes de 9h15 à 12h07 (3h08) et de 12h07 à 14h56 (2h49)
Sandrine RIGAUD : le trou de desserte est toujours là. Les travaux ont lieu en journée entre 9h et 16h30, il y a donc obligation de faire passer les trains avant 9h. Même offre sur la ligne Nice-Breil qu’avant la tempête Alex.
Post réunion : on a 4 A/R TER entre Breil-Tende + 2 A/R trenitalia.REN : Même question pour le train du soir (dernier départ de Nice à 14h50).


ACME : Il est certain que l’offre de train sur la ligne Nice L’Escarène Breil Tende est trop faible pour générer vraiment un report modal. Ceci dit, ceux et celles qui connaissent l’état des vallées préfèrent le train chaque fois que c’est possible, c’est aussi une question de sécurité.

Amis du rail azuréens : demande d’amélioration des conditions de transport.
Sur Breil-Tende : mauvais état de la voie. Diminution importante des trains italiens.
Il faut réaliser des navettes entre l’Escarène et Nice pendant les travaux. Pourquoi travaux de nuit alors qu’on peut les faire de jour ? Sinon, pourquoi pas un train pour permettre aux gens d’aller travailler ?

Réseau #enTrain

REN fait partie d’un collectif, appelé réseau #EnTrain, réunissant une quinzaine d’associations, qui militent sur pour le maintien des lignes ferroviaires de “transport du quotidien”. Nous avons publié une Tribune sur le site Internet du journal Le Monde dans la partie “Opinions”.

Toutes et tous en train !!!
Appel pour un plan stratégique d’investissement massif en
faveur des trains du quotidien pour une mobilité durable  

 
Le collectif #EnTrain qui réunit une quinzaine d’associations actives dans la défense des trains du quotidien appelle à la mise en place d’un plan d’investissement stratégique ambitieux et transparent qui assure l’entretien et le développement de l’infrastructure ferroviaire au service d’une mobilité sobre, partagée et propre pour toutes et tous.
 
Les élections régionales sont l’occasion de rediscuter du thème de la mobilité qui constitue un enjeu majeur de lutte contre le changement climatique et, la réduction des inégalités sociales et d’accessibilité entre les territoires.
 
La nécessité de repenser nos modes de vie est pressante face aux défis imposés par le changement climatique et les objectifs énoncés par les documents d’orientations internationaux. La France doit dès aujourd’hui semer les graines d’une mobilité plus durable et équitable entre les territoires. C’est pour cette raison qu’un collectif d’associations appelle, sans attendre, à un renforcement et à un développement de l’offre ferroviaire pour répondre à la demande de mobilité quotidienne et régulière, à la fois dans les territoires des grandes métropoles et dans les territoires ruraux et périphériques. Pour répondre aux objectifs internationaux et européens, la France doit investir massivement et stratégiquement dans les trains du quotidien qui comprennent les relations métropolitaines mais également les petites lignes aujourd’hui abandonnées.
 
Dans plusieurs pays européens, le train constitue l’épine dorsale de la mobilité quotidienne. C’est à partir de cette épine dorsale que s’articule l’ensemble des autres modes de transport alternatifs à la voiture. Le train offre de nombreux avantages en phase avec la nécessaire transition écologique. Tout d’abord, le train limite considérablement la consommation énergétique, la pollution de l’air, les nuisances sonores tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre (GES). Le train transporte en France 9 % des marchandises et 11 % des passagers pour seulement 0.3 % des GES.
 
Par son emprise limitée sur l’espace, le train permet de contenir l’artificialisation des terres qui est principalement dûe à la réalisation de nouvelles infrastructures routières et à l’étalement de l’habitat qui amène à choisir la voiture individuelle comme mode de transport dominant et structurant. Le train contribue à l’amélioration de la santé publique sous le triple effet des baisses de la pollution, des accidents de la circulation et de la sédentarité́. Le train peut contribuer au retour des services publics dans le monde rural et favoriser un aménagement du territoire plus équilibré grâce aux 30’000 km de voies déjà existantes qui demandent à être améliorées pour développer un réseau dense et une desserte fine sur lesquels peuvent s’articuler les autres modes de transport et ainsi favoriser l’intermodalité. Face aux défis sociaux de la transition énergétique, le développement du train permettrait de développer l’emploi et contribuer la réindustrialisation de la France.
 
Malgré ces avantages indéniables, durant les cinquante dernières années, les gouvernements successifs ont choisi d’investir davantage dans les infrastructures routières que dans le ferroviaire à la fois pour le transport des personnes et des marchandises. Entre 1990 et 2015, le Gouvernement a investi 276 milliards (69 % de l’investissement dans le transport terrestre) dans la route et seulement 78 milliards (20%) dans le rail1. Par ailleurs, les petites lignes ont été largement négligées en favorisant toujours plus, le développement des lignes à grande vitesse. Les conséquences de cette stratégie sur les usagers et les territoires sont aujourd’hui particulièrement saillantes. Ce choix a entraîné la disparition de lignes de proximité, la fermeture de gares et une augmentation du coût de la mobilité ferroviaire. A cela s’ajoute la dégradation des rames, les retards, les ralentissements et les annulations de train sans solution de remplacement et sans information préalable. L’amélioration de la qualité de la desserte ferroviaire s’est par ailleurs déployée de manière inégale entre les territoires, entraînant ainsi d’importantes disparités entre d’un côté les principales agglomérations qui bénéficient d’un système ferroviaire efficace et les territoires périphériques où l’offre ferroviaire est désormais limitée voire inexistante. Les habitants de ces territoires ont été ainsi contraints d’utiliser leur voiture pour tous leurs déplacements.
 
Face à cette situation, il importe de façonner une nouvelle stratégie d’investissement et de développement de la mobilité pour atteindre les objectifs de report modal fixés par l’État dans le cadre de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC). Il est urgent que tous les acteurs du rail français définissent et trouvent ensemble le financement nécessaire à la remise en état du réseau existant et à son développement. Parallèlement, ils doivent définir une structure de financement transparente qui lie chaque dépense et chaque investissement à une offre de transport. Ceci afin de permettre à chaque acteur de prendre ses responsabilités : le commanditaire finance la prestation demandée, la SNCF ou un autre opérateur ferroviaire sont responsables d’offrir toutes les prestations stipulées dans le contrat avec une qualité garantie et les élus doivent porter le projet politique. Il est aujourd’hui urgent d’agir, aussi bien face au réchauffement climatique qu’au niveau de l’avenir du rail français. Il est nécessaire de mettre en place un système qui fixe des objectifs clairs du report modal, qui déploie une stratégie pour les atteindre et qui garantisse les financements suffisants, tout en assurant la co-construction entre tous les acteurs impliqués (Opérateurs et gestionnaires d’infrastructures ferroviaires, État, Régions, Usagers, Associations).

 
Membres fondateurs du réseau #enTrain créé par l’association MUST :
 Marc Gouttebroze, Collectif des Usagers des transports du Haut Allier,
 Joël Hillaireau, « Sauvons les trains Nantes-La Rochelle-Bordeaux »,
 Gilles Laurent, Union des voyageurs du Nord (UVN),
 Andréa von Maltitz, actif-trafiC,
 Catherine Rainaudo, Roya Expansion Nature, ligne Nice-Tende-Turin,
 Nicole Tagand, Étoile ferroviaire de Veynes,
 Michel Vuillermoz, Nosterpaca,
 Sylvain Fischer, « Oui au train de nuit »

 
Soutenus par :
 Allexandra Pourroy, collectif Mobil’Hautes-Alpes,
 Arnaud Schwartz, France Nature Environnement (FNE)

Il n’y a pas que la route pour passer le col de Tende

Pour la mise en place d’une navette ferroviaire

M. le Président de la République française, M le Président du Conseil italien,

Des discussions de la Commission Intergouvernementale pour les Alpes du Sud nous avons retenu que le parcours ferroviaire Breil-sur-Roya/Vintimille ne sera remis en état que fin 2021et que, même si l’accord semble se faire autour de la reconstruction d’un viaduc à l’entrée du tunnel routier du col de Tende, les difficultés techniques liées aux mouvements de terrain et les coûts annoncés renvoient à 2024. Ceci nous incite à proposer une solution beaucoup plus rapide et moins couteuse.

En 1987 et en 1992, parce que la route du col de Tende était impraticable, les services ferroviaires de l’époque ont déployé les moyens techniques permettant de faire circuler des navettes ferroviaires pour le transport des véhicules légers entre Tende et Limone. La voie et les quais de chargements sont toujours là, ne manque que la volonté de faire.

Les quatre trains de voyageurs proposés chaque jour par Trenitalia, pourraient être complétés par des allers-retours de navettes « auto-train ». En plus de rendre un service considérable aux entreprises locales, elles ajouteraient un atout majeur au potentiel de la ligne.

S’il vous plait, donnez les consignes nécessaires à vos représentants à la CIG et à vos ministres des transports pour qu’ils s’accordent sur la remise en état de cette ligne internationale.

Plus que jamais, le train est la solution de la reconstruction de la Roya.

REN Roya Expansion Nature –
GEE Grands Express Européens – https://www.europatrains.eu/

Lettre ouverte des usagers de la ligne Nice/L’Escarène/Sospel/Breil/Tende/Cuneo et Vintimille

AUX DECIDEURS DE LA REGION, DE SNCF-RESEAU, DE L’ETAT,
AUX ELU.E.S

POUR LA MODERNISATION DE LA LIGNE
NOUS VOULONS DE VRAIES REPONSES A NOS QUESTIONS !

La ligne Nice/L’Escarène/Sospel/Breil/Italie (Cuneo et Vintimille) irrigue plusieurs vallées. Les évènements de l’automne 2020 ont apporté la démonstration qu’il s’agit bel et bien d’une ligne de vie, indispensable pour la vie quotidienne de nos territoires (aller au lycée à Drap, profiter des services de santé de Nice, ou tout simplement aller rencontrer ses amis du village voisin). Elle constitue également un atout considérable pour la découverte de nos villages et de nos montagnes, comme en témoigne le succès du « Train des Merveilles ».

La ligne a été fragilisée par la tempête Alex mais beaucoup disent que les inondations l’auraient sauvée (des annonces fantaisistes dans les médias, allant jusqu’à 395 M€, ont pu faire croire que la liaison ferroviaire allait bénéficier d’une manne extraordinaire). Nous demandons à voir car les informations données à nous, acteurs associatifs du territoire, engagés pour sa modernisation sont rares, fluctuantes, imprécises. Seuls sont financés les travaux de remise en état du pont à arcatures de Fontan et des abords du tunnel de Biognia à St Dalmas de Tende et quelques opérations mineures. Le montant total est de 20 M€, avec un engagement très limité de la Région (7,48 M€) pourtant concernée au premier chef, et qui s’était pourtant engagée dans le Contrat de Plan Etat/Région à investir 15 M€

Nous avons besoin de réponses de la Région, de la SNCF, de SNCF Réseau et de l’Etat quant à son devenir à court, moyen et long termes :

  •  Quand pourrons nous suivre la Roya en train jusqu’à Vintimille ; quand le parcours Breil- Tende sera-t-il rétabli, avec quelle fréquence? Avant le 2 octobre, le premier train au départ de Tende était à 11h45, arrivée à Nice à 14h05, et pour le retour, rien après 14h56 : juste le temps de boire un café en gare de Nice !
  •  Les négociations franco-italiennes qui durent depuis des années vont-elles enfin déboucher sur un accord clair de partage des responsabilités permettant à RFI et SNCF Réseau de garantir le bon entretien et d’investir ?
  •  Quand les nombreux ralentissements qui affectent toutes les branches de la ligne seront-ils supprimés, y compris le ralentissement à 40 km/h vers Vintimille ?
  •  Les travaux de réparation du tunnel de Braus sont-ils financés ? On parle d’une fermeture de seize mois, est-ce exact ? Si c’est le cas, c’est considérable et il faudra atténuer au maximum les conséquences très négatives pour nos vallées, à commencer par la possibilité de maintenir la ligne jusqu’à L’Escarène. Qu’on ne nous dise pas que c’est trop compliqué ! Il faut profiter de cette période pour faire des travaux sur toute la ligne pour des circulations plus nombreuses, plus rapides.
  •  Qu’ont prévu la Région et la SNCF pour remplacer les trains diesel ? Electrifier la ligne ? Des trains à hydrogène ? Là encore nous attendons des réponses.

Il ne suffit pas de déclarer dans les médias que « la ligne et sauvée ». Nous attendons du Président du Conseil Régional des actes, à commencer par la publication de la date de réouverture de la ligne Nice- L’Escarène-Breil-Tende et un engagement sur deux aller-retour supplémentaires entre Breil et Tende, un en début de matinée et un en fin en soirée. Nous attendons des perspectives, mais aussi du dialogue avec les associations d’usagers qui se battent pour la « ligne de vie ».

Signataires :
Association Via Europae c.o. Michel Braun – Tél. 06.10.61.28.89
Association des Amis du Rail Azuréens mail : amisdurailazuréen06@free.fr Tél. 06 95 30 60 43
Association ACME-Pays des Paillons – contact@acme06.org
Association Roya Expansion Nature (REN) – https://ren.roya.org, associationren06@gmail.com
Creative Riviera creative.riviera@free.fr
Sospel Environnement
Comité franco-italien pour la défense de la ligne Nice – Tende – Cuneo – Ventimiglia,
mail : nice.tende.en.train@gmail.com – www.facebook.com/LaCuneoNizzaUnisce
Collectif sauvegarder et promouvoir la ligne Nice – Sospel – Breil – Tende – Cuneo
mail : collectif-ligne-nice-breil-tende-cuneo@ouvaton.org – Tél. 06 74 59 71 00